Il est grand temps de parler du syndrome des ovaires polykystiques

Slate.fr du 27 août 2021

"Le SOPK touche 10% des femmes et est, avec l'endométriose, l'une des premières causes d'infertilité. Pourtant, pour certaines patientes, la pose d'un diagnostic est un parcours du combattant."

Le Dr Virginie Castera, Chef de service d'Endocrino-Diabétologie de l'Hôpital Saint Joseph et spécialiste de ce syndrome, explique cette pathologie invalidante.

Date de modification : 30 août 2021

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